Les maires de l’agglo : « On dirait le Sud… »

Novembre 2023Plus qu’une égratignure, une plaie béante !

Nos communes blessées, martyrisés par le bétonnage outrancier qui profite à un quarteron de profiteurs.

Voire cette enquête accablante menée par une journaliste chevronnée, grand reporter :

https://www.youtube.com/watch?v=GV2fqvJI8Jo


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Janvier 2023. Des maires faibles ?

Compte tenu de notre démographie, il n’est pas surprenant de constater que la plupart de nos maires du territoire Esterel côte d’azur agglomération appartiennent soit à des partis de droite, voire extrême, soit assimilés (macronisme) les deux basés sur le culte de la personne, de l’autorité, mais la frontière avec l’autoritarisme est fine.

L’autorité se construit dans le dialogue, elle a besoin de reconnaissance réciproque entre le politique et le peuple, le maire et ses administrés. Elle est, de ce point de vue une qualité, l’apanage des personnes souvent brillantes intellectuellement. De Gaulle, Pompidou, Mitterand, et par chez nous, Léotard, JP Serra, notre ancien maire, avaient cette forme d’aura, qui leur donnait une autorité naturelle.

L’Autoritarisme est l’apanage des faibles, de celles et ceux qui sont dans l’incapacité d’argumenter, de dialoguer, de gérer un trop-plein d’émotions.

Alors, oui, sur notre territoire, nous sommes face à des maires faibles, incapables de construire un projet commun, incapable d’écouter, incapable pour beaucoup de résister aux tentations et donc capable d’un autoritarisme qui agit comme bouclier face à une vulnérabilité profonde.

Des personnes qui veulent se montrer fortes car faibles en réalité et qui font malheureusement des mauvais choix, car non éclairés, non concertés, enfermés dans leur certitude que nous paierons chers malheureusement.


Janvier 2023

Alors que la fermeture des urgences de Bonnet fait la Une de tous les journaux nationaux, le maire de Saint Raphaël (M Masquelier) en remet une couche en accusant à mots couverts les bureaucrates (sic) et les médecins de cette situation (article de Figaro) qui sont, avec les autres soignants, les principales victimes d’une situation indigne pour un pays comme la France.

Mais construire à tour de bras sans penser aux capacités hospitalières qui vont avec est une erreur grave (Notons que M Masquelier est parfaitement au fait de cela car il est Président du conseil de surveillance de cet hôpital). Citons alors vraiment tous les responsables de cette Bérézina locale. Car depuis 20 ans aucun lit supplémentaire hospitalier n’a été créé alors que la population, âgée retraitée le plus souvent, a augmenté de plus de 30%.


Janvier 2023

Jean Cayron a décidé de ne plus faire partie de la communauté de communes EC2A qui comprend nos deux voisins, Fréjus et Saint Raphael.

A t-il raison ?

Au vu de cet article de « L’Express » sur les pratiques (douteuses) des maires de ces deux communes, nous pensons que oui (pour une fois !!!). Il n’y a rien a tiré de cette instituion qui va s’endetter de 65 millions d’euros ! Dette qui n’apparaitra pas dans les comptes des communes déjà lourdement endettées. Un tour de passe passe habile mais au détriment des citoyens Roquebrunois qui participent à leur insu à ce projet de promenade délirant.


ARTICLE L’EXPRESS
Montres de luxe, amitiés sulfureuses, tambouille électorale… A Fréjus, le « système » Rachline de Camille Vigogne Le Coat
David Rachline n’est pas député, mais il se tient au premier rang pour cette rentrée parlementaire du Rassemblement national, le 17 septembre 2022 au Cap d’Agde. Assis à côté de son ami Jordan Bardella, président du parti, le maire de Fréjus savoure. Le succès du RN aux législatives, avec l’élection surprise de 89 députés, est aussi un peu le sien : dans son département du Var, sept circonscriptions sur huit ont été ravies par l’extrême droite. Un tsunami.
Beaucoup sont des proches :
  1. Philippe Lottiaux, le directeur général des services (DGS) de sa ville,
  2. Franck Giletti, son directeur adjoint,
  3. Julie Lechanteux, son ancienne compagne et adjointe à la mairie,
  4. ses amis Philippe Schreck et Frédéric Boccaletti… Sans compter le voisin des Alpes-Maritimes, Bryan Masson, ancien membre de son cabinet. La « Fréjus académie », selon l’expression de Philippe Lottiaux, a bien travaillé.
Ce jour-là, David Rachline arbore au poignet une lourde montre Hublot métallique. Le bijou se trouve en sa possession depuis sept ans, mais il n’en a jamais été officiellement le propriétaire. C’est son ancien chauffeur, Arnaud Collier, qui l’a acheté en son nom propre, en 2015, dans la bijouterie Cap3 000 de Saint-Laurent-du-Var. La transaction,
supérieure à 15 000 euros, figure toujours dans le registre du magasin, comme L’Express a pu le vérifier. Le collaborateur, alors âgé de 24 ans, ne roulait pourtant pas sur l’or comme assistant parlementaire de David Rachline.
Personne ne l’a d’ailleurs jamais vu porter cette montre, réglée en grande partie en liquide. Elle serait issue, selon plusieurs sources dans l’entourage du maire, « d’arrangements » avec les acteurs économiques locaux. Le symbole d’un système dans lequel se mêlent soupçons de corruption, tambouilles électorales et amitiés radicales, sur fond de soirées arrosées ?
David Rachline reçoit L’Express dans son bureau, mercredi 4 janvier 2023. Aucune montre à son poignet : il assure n’ »avoir jamais eu » un modèle de ce type. Pourtant, L’Express a pu constater qu’il porte bien cet objet régulièrement, depuis des années. La dernière fois, c’était en septembre, au cap d’Agde, comme l’attestent des images du photographe indépendant Denis Allard. Comment expliquer que cette montre, enregistrée au nom de son ancien chauffeur et payée partiellement en liquide, se retrouve à son poignet ? « J’ai peut- être un ami qui me l’a prêtée« , finit par reconnaître David Rachline d’une voix éraillée d’avoir trop fumé.
« L’un des plus proches conseillers de Jordan Bardella »
Le maire de Fréjus n’est plus cet adolescent obsédé par Jean-Marie Le Pen, adhérent au « Front » à 15 ans, conseiller municipal à 19, patron du FNJ à 20, sénateur à 26, auquel on donnait facilement le double de son âge. A 35 ans, il occupe son vaste bureau avec des airs de propriétaire, posters de Johnny Halliday dédicacés aux murs et canard en plastique jaune à l’effigie de Donald Trump sur la commode.
Au RN, le vice-président siège dans toutes les instances : commission nationale d’investiture, bureau national, bureau exécutif. Il dispose surtout d’un accès privilégié au nouveau président du parti, Jordan Bardella, avec lequel il partage bien plus que des réunions stratégiques. Vacances sur la Côte d’Azur, dîners dans des restaurants branchés, soirées dans des boîtes de nuit ou au bar de plage du Nikki Beach, à Saint-Tropez… « C’est l’un des plus proches conseillers de Jordan. C’est l’un de ses, si ce n’est SON meilleur ami », insiste la députée européenne Mathilde Androuët, oubliant un peu vite que l’ascension du nouveau président du RN a d’abord provoqué la jalousie du Varois.
Son royaume, lui, s’appelle Fréjus. Lorsque David Rachline arrache la ville aux municipales de 2014, c’est à la faveur de l’essoufflement du système mis en place par son prédécesseur, Elie Brun, qui a surendetté la municipalité et laissé prospérer le clientélisme – l’ex-élu UMP est condamné, cette année-là, à cinq ans d’inéligibilité pour prise illégale d’intérêts. Marine Le Pen confie une mission au nouveau maire : faire de cette prise de guerre une vitrine présentable pour son parti en adoptant une gestion municipale exemplaire.
Avec la fille de Jean-Marie Le Pen, David Rachline a partagé le meilleur comme le pire depuis une quinzaine d’années ; quelques soirées de réveillon, aussi. Signe de la confiance qu’elle lui accorde, il dirige la campagne présidentielle de la candidate d’extrême droite en 2017. « Je le connais depuis son plus jeune âge, et on a déjà vingt ans de complicité », dit de lui Marine Le Pen. Invité à raconter « sa Marine » par Cyril Hanouna sur C8, en avril 2022, il est présenté, à la demande des équipes de la députée du Pas- de-Calais, comme « son meilleur ami ». Une séquence cathodique ratée : en obsédé du contrôle de son image, David Rachline n’est pas taillé pour les moments de légèreté télévisuels.
Un ami de Frédéric Chatillon adepte de blagues qui dérapent
Quand il était sénateur, il n’oubliait jamais d’ôter de son poignet sa Rolex avant de monter à la tribune de l’hémicycle. « Ça ne fait pas très élu du peuple », glisse-t-il un jour dans un sourire à son collègue Stéphane Ravier. A la mairie, l’édile s’entoure d’affidés qui lui doivent tout. Il multiplie les emplois de complaisance et n’hésite pas à « exécuter », selon sa formule, ceux qui ne témoignent pas d’un zèle assez démonstratif. L’homme ne se lâche qu’en privé, lorsqu’il débouche une bouteille de champagne dans son bureau enfumé par la cigarette, se détend à l’arrière de sa voiture avec chauffeur (il n’a pas le permis) ou prend la mer avec ses amis.
Parmi eux, Frédéric Chatillon, l’ancien patron du GUD, le groupuscule d’extrême droite radical, mis au ban du RN depuis l’accumulation de scandales politico-financiers (il a été condamné, en 2019, pour escroquerie dans l’affaire des kits de campagne du FN aux législatives 2012, et a fait appel, NDLR). Les deux amis aiment se retrouver à Rome ou sur la Côte d’Azur. L’été dernier, les compères se sont offerts une virée en mer avec le député européen Jean-Lin Lacapelle, un autre fidèle de Marine Le Pen. « Frédéric Chatillon est un ami », assume David Rachline, qui partage avec les anciens gudards le goût de la fête et des blagues qui dérapent. En 2014, Le Point publie une vidéo dans laquelle on le voit s’esclaffer, à l’arrière d’une Mercedes, « la voiture du Führer », pendant que le chauffeur aux cheveux ras effectue un salut nazi. Plusieurs témoins – ex- amis, conseillers municipaux, collaborateurs de mairie – jurent l’avoir vu s’adonner lui-même, à plusieurs reprises, à des gestes de ce type, à l’occasion de soirées particulièrement arrosées. « Que voulez-vous que… ? Vous avez quoi, on vous a donné une photo, une vidéo ? », répond David Rachline à L’Express, entre deux silences. L’élu finit par invoquer « la loi des rumeurs ».
Si, à Paris, l’ancien admirateur d’Alain Soral se fait remarquer pour son marinisme zélé, censé incarner un RN rassurant et présentable, dans sa ville, sa majorité abrite des profils radicaux. Lorsqu’un de ses adjoints, Patrick Renard, se fait épingler par l’opposition, en 2021, pour avoir publié sur Facebook le message suivant : « Nouvelle pub pour la sécurité routière, un couple mixte, un noir et une blanche qui font l’amour, trop c’est trop », David Rachline lui suspend ses délégations. Mais seulement pendant six mois, le temps de la campagne des régionales.
Entre Frédéric Masquelier et David Rachline, un accord inédit
Depuis sa réélection en 2020, au premier tour des municipales, l’élu cultive surtout ses réseaux de droite. Il conclut, au lendemain de sa victoire, un accord inédit avec son voisin Les Républicains de Saint-Raphaël, Frédéric Masquelier. Ce dernier garde la présidence de la communauté d’agglomération Var Estérel Méditerranée (la Cavem). En échange, cinq vice-présidences, dont la première, sont occupées pour la première fois par l’extrême droite. « J’assume une théorie de la copropriété. Nous devons nous entendre pour le fonctionnement des parties communes, comme dans un immeuble », minimise Frédéric Masquelier. Les deux édiles élaborent désormais main dans la main les nombreux chantiers d’aménagement de l’agglomération.
Rachline et Masquelier s’accordent aussi sur des décisions plus politiques, comme lorsqu’ils coupent les subventions du quartier sensible de la Gabelle pour provoquer « un sursaut » des habitants après des violences urbaines en décembre.
Un étrange pas de deux se joue entre eux. En 2020, alors que le lepéniste Philippe Lottiaux se prépare à se lancer en campagne pour les municipales à Saint-Raphaël, son patron David Rachline le débranche, au profit d’un collaborateur bien moins expérimenté (et donc moins dangereux pour son allié). Résultat, le RN obtient deux fois moins de voix qu’au scrutin précédent, permettant à Frédéric Masquelier de s’enorgueillir d’une élection au premier tour. En échange, Philippe Lottiaux est promu à un poste de directeur général des services de la Cavem, qu’il cumulera avec son emploi de DGS la mairie de Fréjus, dans un mélange des genres inédit.
Est-ce un renvoi d’ascenseur ? Lors des élections législatives de 2022, le docteur Jean- Marc Maurin, investi par Les Républicains face à la lepéniste Julie Lechanteux, s’est senti peu épaulé par la fédération de son parti. Professions de foi jamais livrées aux électeurs, logos LR absents sur ses bulletins de votes… Des négligences attribuées par son entourage au manque de soutien de Frédéric Masquelier. « C’est un frontiste camouflé », avait prévenu le président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier, à son ami, l’ancien président de LR Christian Jacob.
Dans l’arrière-cuisine, David Rachline multiplie les arrangements avec cette droite locale si longtemps dominante en terres varoises, et aujourd’hui menacée de disparaître. En 2021, le maire de Fréjus demande à la direction du RN de n’envoyer aucun candidat dans deux cantons où se présentent le président LR du département, Marc Giraud (La Crau), et son proche Didier Brémont (Brignoles). A l’époque, la requête provoque une colère de Marine Le Pen en commission d’investiture : elle s’agace que son parti renonce à placer des candidats dans ces terres pourtant gagnables, mais cède finalement. Ce compagnonnage est d’autant plus difficile à assumer que le président du département traîne une réputation défavorable : mis en examen pour détournement de fonds publics, Marc Giraud a été condamné, en octobre dernier, à cinq ans d’inéligibilité – il a fait appel. « Nous n’avions pas de candidats d’assez bon niveau, c’est un concours de circonstances », tente d’expliquer David Rachline auprès de L’Express. Le maire de Fréjus assume ses bons rapports avec le département, généreux en aides avec sa ville. Il a même donné la consigne aux conseillers départementaux lepénistes de voter le budget, un choix très politique qui signe d’ordinaire l’appartenance à la majorité.
Une ville de plus en plus endettée… Et une enveloppe de 800 euros par mois
Pour qui roule David Rachline ? Pour sa ville, pour lui-même, ou pour d’autres intérêts, économiques notamment ? L’élu reconnaît être un noceur. Il est aussi flambeur. Un style de vie onéreux, malgré ses indemnités qui s’élèvent à 9 384 euros brut par mois (il cumule avec un mandat de conseiller régional). En 2020, lors du premier conseil municipal organisé après sa réélection, le Varois décide de s’accorder une enveloppe supplémentaire de 800 euros par mois, pour couvrir ses frais personnels. Un dispositif légal qu’il avait supprimé en 2014, au nom de la gestion exemplaire. « Je vous garantis que cette enveloppe est tout à fait justifiée », assure l’intéressé, qui invoque des besoins liés à la fin de ses indemnités sénatoriales.
La mesure a tout de même de quoi surprendre à la vue du contexte financier de la municipalité. Loin d’assainir la situation de la ville, David Rachline a de nouveau laissé filer les dettes : elles ont augmenté de 15,44 % sur les trois dernières années (2018-2021). Malgré une politique de cessions de terrains intensives depuis 2014 – 54 millions d’euros de propriétés communales ont été vendues -, Fréjus est obligée d’emprunter non seulement pour réaliser ses investissements, mais aussi pour rembourser sa dette. Résultat, celui qui accusait son prédécesseur d’avoir « ruiné la ville » gère aujourd’hui une cité plus endettée encore. « La bonne gestion de monsieur Rachline, c’est : ‘je vends autant de terrains communaux que possible, je réemprunte à vingt ans pour que ça ne se voit pas, et je fais des travaux complètement délirants' », soupire Emmanuel Bonnemain, à la tête d’un groupe d’opposition.

 

 


Mars 2019

L’herbe est-elle plus verte au Puget ?

Vous vous souvenez peut-être du départ d’une dizaine de familles Roquebrunoises vers Puget du fait des augmentations délirantes des tarifs liés à l’enfance (des cantines, du centre aéré, crèches, …) décidé par le trio « Behague Jousse Ollivier » et de la révolte des parents d’élèves qualifiés de « terroristes moraux » par Lio.

Il était intéressant de les retrouver afin de savoir si Puget est finalement mieux que Roco ?

Et le constat est loin d’être glorieux : des impôts locaux qui augmentent en flèche (qui restent certes en dessous de la moyenne nationale), une « cantine locale » mais un prix du repas de 10 Euros (2 euros 60 payés par la famille mais le reste payé par le contribuable lié à l’amortissement de l’investissement), des constructions immobilières multiples peu intégrées architecturalement avec un réseau routier qui se dégrade et qui n’est pas adapté en conséquence, une école qui se construit mais qui sera toute petite et insuffisante trop rapidement, une médiathèque toute neuve mais qui a coûté le double du budget initial soit 1 million d’euros, une agence de communication très discutable (la même que Roco), un centre ville catastrophiquement mort, une extension anarchique de la zone industrielle, des embouteillages de plus en plus fréquents avec la pollution qui va avec et enfin des Pugétois qui se sentent dépossédés et qui partent vers le Muy, les Arcs ou Vidauban.

Bref encore une gérontocratie (l’âge cumulé du maire et du premier adjoint atteint presque 150 ans) qui reste sur un modèle de construction immobilière des 30 glorieuses. Une folie des grandeurs avec une absence de vision, de projet et d’anticipation. Une course à l’échalote pour boucler un budget au rouge vif et le score historique du RN aux dernières élections montre bien que cette ville part aussi à la dérive et ressemblera dans 10 ans aux villes bétonnées sans charme du 06 à l’avantage de qui ? Inutile de vous faire un dessin, vous connaissez comme nous la sinistre chanson d’un argent bien mal acquis.

Adieu belle Provence ….


Janvier 2019 : Fréjus

Le mouvement des « Gilets jaunes » pourrait-il favoriser les candidats « sans étiquettes » aux municipales de 2020 ?bonemain

Les lueurs d’espoirs citoyens ont scintillé ces derniers jours. Après le lancement du « grand débat » auquel il faut participer car il pose des questions essentielles puis notre déplacement à Toulon à la marche pour le climat qui attire (et inquiète) de plus en plus de monde, nous apprenons qu’un homme sans étiquette Mr Bonnemain se présente contre Rachline à Fréjus (Var Matin du jour).

Nous connaissons indirectement cet homme droit de tendance de droite qui a fait du droit !
La nouvelle génération de politiques qui arrive dans la CAVEM nous laisse penser qu’on va enfin pouvoir sortir du jeu politique national.
Car que ce soit le RN ou Ginesta et donc Ollivier Jousse nos communes n’ont été jusqu’à présent que les pions du jeu des partis nationaux et on voit le résultat: bétonnage, fric-magouilles et absence quasi totale de conscience et de réalisations écologiques.

Or, les gilets jaunes et de nombreux citoyens, rejettent parfois à juste titre ces partis nationaux.
Si nous avions sur Roquebrune et sur les autres communes des élus « sans étiquette » loyaux et « du cru » (comme Serra à l’époque), il y a de fortes chances pour que la CAVEM soit enfin gérée d’ici et non pas de Paris. Car les enjeux majeurs de notre territoire les « sans étiquettes » les connaissent et leurs indépendances seraient une garantie pour nous citoyens d’une autonomie d’action bénéfique.


2018 : Saint Raphaël39628739_888886661296973_2045052586410639360_n

Les langues se libèrent et la purge continue à Saint Raphaël avec un Maire, Mr Masquelier, qui jusque là fait un sans faute dans l’assainissement et la moralisation de la politique locale de sa ville (éviction de l’adjoint à l’urbanisme fidèle à Ginesta, charte des marchés publics…).

Retour (plus bas) sur l’influence néfaste de Ginesta et consorts sur la politique Roquebrunoise.

En 2020, espérons que cette purge atteigne aussi une municipalité vérolée par les scandales depuis presque 20 ans..

 


2017 :NOS CHERS VOISINS COMMUNAUX.

« Je t’adore, je te déteste » la saga passionnée (peu passionnante) des « ennemis, anciens amis« , ou « amis, anciens ennemis » sur fond de lutte politique et d’enjeux financiers.

Les communes du territoire qui jouxtent géographiquement Roquebrune sont : Puget sur Argens, Fréjus, Bagnols en Forêt, Le Muy. plus loin : Saint-Raphaël, Les Adrets de l’Estérel .

Il existe différentes formes administratives de coopération intercommunale au sein de ce territoire: « Feu » la Communauté de Communes « Pays Mer Estérel » (CCPME), le « SMIDDEV » (nous y reviendrons), mais surtout depuis 2013, la CAVEM (Communauté d’Agglomération Var Estérel Méditerranée) . Les communes citées font toutes partie de la CAVEM (sauf Le Muy).http://www.cavem.fr

Ses domaines de compétence couvrent bon nombre de préoccupations des Roquebrunois et notamment :

La CAVEM est un organisme solide et « qui travaille » mais qui est depuis quelques temps, le lieu où se joue un triste mélodrame. Son président est Georges Ginesta et l’un des ses Vice-Présidents est Jean Paul Ollivier.

C’est un lieu d’affrontement et de pouvoirs particulièrement du fait du système Jousse/Ollivier et exacerbé depuis l’élection de David Rachline (FN), ami d’Ollivier-Jousse, et en opposition frontale et déclarée avec Georges Ginesta (UMP, Député Maire de Saint Raphaël).

C’est parfois une vraie corrida ! Les conflits politiques, inextricables et parfois peu lisibles par les rebondissements successifs, sont souvent au premier plan. Les duettistes ex-tandem « Jousse-Ginesta » (amis pour la vie, mais depuis l’exclusion de Jousse de l’UMP : ennemis pour toujours), ont fait et  font toujours l’objet de rebondissements revirements et donc d’instabilité politique.

Car, qui dit « efficience et économie » implique « mutualisation et synergie » mais lorsque le système s’enraye, il peut être source de dysfonctionnements et de non coopération délétères.

Deux exemples pratiques de retentissement de ces discordes sur les finances citoyennes :

  1. un prix à la tonne de déchets qui explose par commune,
  2. le prix du mètre cube d’eau qui atteint des sommets sur Roquebrune (voir le dossier sur le prix de l’eau).

LES RELATIONS entre FREJUS-ROQUEBRUNE : un copié-collé d’idéologie malsaine, de dettes colossales et d’affaires entre copains.

Une « involution » parallèle inquiétante :

  • Une dette abyssale : Fréjus : autour de 2500 Euros de dette par habitant – Roquebrune : 3265 Euros par habitant en 2015

voir le tableau comparatif plus bas, édifiant (source ACCR)13615107_838242236307354_5312424754957371863_n

  • Deux adjoints qui démissionnent pour dénoncer l’endettement des deux villes. Michel Bouvard a démissionné de ses fonctions d’adjoint aux finances de Roquebrune
  • Pour faire des économies, Fréjus décide de rendre ses manifestations culturelles biennales. Roquebrune fait de même et en supprime certaines (festival de la BD,…)
  • Les maires font la une des médias à leurs dépens : articles du Canard Enchainé sur les dérives à Fréjus. Luc Jousse et son 1er adjoint Jean-Paul Ollivier sont mis en cause dans un reportage de la chaîne D8 et d’Envoyé Spécial sur France 2.
  • Des dissidences et des trahisons politiques : Philippe Mougin à Fréjus, Francesco Lio à Roquebrune trahit ses engagement et rallie Jousse et Ollivier13775939_10209959119684890_2498935611259866916_n
  • Une droitisation progressive vers l’extrême : de Léotard (modéré) à Rachline en passant par Brun. De L’UMP de Jousse Ginesta au micro parti « RPR Joussien » ouvertement populiste et extrême.
  • David Rachline et Luc Jousse « copains » pour les affaires et surtout pour reprendre la CAVEM à Ginesta (voir photo) et étendre l’emprise du FN sur le territoire.
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Le sénateur et le condamné Jousse

En effet, le FN de Fréjus veut clairement mettre la main sur Roquebrune. Il y envoie ses gros bras lors du conseil municipal du 3  Août pour faire pression sur les élus afin qu’ils élisent Ollivier-Jousse, et ses promoteurs pour tirer parti un maximum des biens de Roquebrune

Qui fait pire que l’autre ? Difficile de départager les deux villes ! En fait tout est dit  : une gestion calamiteuse, des affaires de gros sous, une idéologie de l’intolérance.


LES RELATIONS entre SAINT RAPHAEL-ROQUEBRUNE : l’influence de « l’oracle du lion de mer »

L’influence et les manœuvres de Georges Ginesta, député Maire ont été déterminantes en terme de répercussions pour notre village.

Il a régné en maitre sur le territoire fortement ancré à droite (RPR, UMP). C’est le potentat qui a soutenu Jousse pendant 3 élections, « le meilleur d’entre nous » pour enfin admettre les dérives de celui-ci et de s’en séparer.

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Le député et le condamné Jousse

Mais pourquoi l’avoir soutenu jusqu’au bout alors qu’il était bien au fait des agissements du délinquant Jousse ?

Un exemple emblématique : alors que Jousse avait été suspendu de l’UMP pour ses propos odieux contre une minorité, George Ginesta a tout fait pour qu’il réintègre l’UMP et lui permettre sous cette étiquette de remporter les élections municipales de 2014 pour qu’ensuite Jousse en démissionne ! Cette attitude schizophrénique est incompréhensible à moins qu’il ne soit lui-même tenu par les affaires du Système Ollivier-Jousse ? « UN TROUBLE DE L’ELECTION » qualificatif utilisé par l’oracle lui-même, qu’il pourrait également s’appliquer !

Plus incompréhensible, il soutient officieusement la candidature d’Ollivier qui devient de nouveau fréquentable à l’élection de Maire par les élus du 3 Août 2016, c’est à n’y rien comprendre ! Les dossiers d’abord, et non les Roquebrunois d’abord, la politique ensuite.

Au cours de toutes les élections Ginesta n’a cessé de monter un front uni Jousse-Ginesta-Boudoube/UMP contre JP Serra, l’enfant du pays, à toutes les élections entre 2001 et 2014 (voir historique en annexe, plus bas)

Sa responsabilité est ainsi immense dans la vie politique que Roquebrune subit encore actuellement.


Lire le dernier paragraphe (Canard enchainé) concernant Roquebrune. Déc 2018.

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LA SAGA DU SMIDDEV:  exemple d’un maelstrom financier savamment orchestré par Ginesta-Jousse-Ollivier

Le SMIDDEV est le syndicat intercommunal chargé de gérer le ramassage et le traitement des ordures ménagères. En font partie notamment les communes de la CAVEM. Olivier en était l’un des Vice-présidents, mais il démissionnera car « fatigué » tout en restant Vice-Président de la « CAVEM » …

Au centre des préoccupations le site d’enfouissement de Bagnols en Forêt qui accueille les déchets, et le Groupe Pizzorno qui a conclu ce marché avec le SMIDDEV.

Le groupe Pizzorno qui régnait en maitre sur ce marché a été reconnu coupable d’avoir enfoui irrégulièrement des déchets. Les « barons » auraient été au courant de ce marché. Le SMIDDEV décide de changer de prestataire.

Un article bien documenté de l’Express dénonce l’opacité du secteur des ordures ménagères et la montée en puissance des cas de corruption au niveau national. Le cas le plus fréquent de fraude est la différence entre à la tonne déclarée et la tonne effectivement déposée.

La CAVEM décide de se retirer du SMIDDEV et demande la dissolution refusée par la Préfet. Les maires de Fréjus, Roquebrune et Saint Raphael n’ont pas voulu poursuivre Pizzorno ? Pourquoi ?

Ainsi, les intérêts financiers sont majeurs dans cette commission qui brasse et attribue des marchés publics pour plusieurs millions d’euros à des groupes ou entreprises privés.


LES RELATIONS avec PUGET, BAGNOLS-EN-FORET, Le MUY et CONCLUSION 

Le maire de Puget a été ami fidèle du système Jousse-Ollivier et a participé a pratiquement toutes les élections contre JP Serra avec eux et Georges Ginesta. Depuis les relations se sont tendues et Jousse insulte M. BOUDOUBE et son adjoint via sa page Facebook.

Le maire de Bagnols est en conflit ouvert avec la CAVEM pour sa gestion douteuse des ordures ménagères et les relations n’ont jamais été très soutenues entre Roquebrune et Bagnols. Quant au Muy , la ville appartient à une autre intercommunalité 13350404_1072334122841622_5851072671569891072_o

Malgré le parasitage incessant mené par le système Ollivier Jousse et depuis 2 ans par le sénateur Rachline, nous reconnaissons l’énorme travail efficace fait par la CAVEM qui monte des dossiers solides. Les élus de Roquebrune de l’opposition qui participent à la CAVEM  réussissent pour le bien de leur administrés : ainsi le Programme d’Action et de Prévention des Inondations  (PAPI) qui a été élaboré sous l’égide de M Perrin a été accepté par l’état pour plusieurs dizaines de millions d’euros sur 5 Ans.

Ainsi nous voyons combien il est important d’entretenir des relations constructives avec nos partenaires voisins communaux ne serait-ce qu’au sujet crucial des inondations qui concerne pour le bassin de l’ARGENS, à la fois Le Muy, Roquebrune, Puget et Fréjus.

Aujourd’hui, malheureusement c’est amour (Fréjus) ou haine (Saint Raphael, Puget) lié en grande partie aux multiples « volte-face » du système Jousse Ollivier en fonction des intérêts personnels plus que collectifs.

L’influence Raphaëloise a été clairement néfaste pendant ces 15 ans, ne parlons pas de Fréjus actuellement. Mais Le Muy, Bagnols ou Puget semblent plus aptes à la collaboration citoyenne, et d’ailleurs ne doit-on pas inviter les citoyens de ces communes à réfléchir avec nous sur l’avenir du territoire ? En terme économique de développement durable, de géopolitique et écologique nous avons plus à partager avec des « villages ou des villes plus paisibles politiquement »  qui se tiennent à l’écart des ambitions politiques nationales.

Sans se séparer de la CAVEM peut-on développer d’autres formes d’intercommunalités citoyennes qui permettraient le développement de l’agriculture, du milieu associatif, de la culture, du sport ou des cantines scolaires centralisées avec de vrais cuisiniers, du local et du bio par exemple ?


ANNEXES

L’endettement et les impôts : analyse comparée des communes du territoire. EDIFIANT POUR RSA ! (source ACCR)

rsa champion


Ainsi intéressons-nous à la saga Ginesta-Jousse contre Serra à l’aune des différentes élections communales et départementales qui souligneront le soutien indéfectible de Ginesta au délinquant Jousse.

HISTORIQUE DES ELECTIONS MUNICIPALES ROQUEBRUNOISE, CANTONALES ET DEPARTEMENTALES du VAR

en 2001, municipales : Jousse Ollivier avec le soutien de GINESTA

en 2004, cantonales : le front « Tous contre Serra » échoue, JP Serra conserve son siège de conseiller général contre Jousse en le devançant dans toutes les communes du canton y compris à Roquebrune …

En 2008, municipales : Jousse-Ollivier ont réussi à rassembler FN, Gauche et Droite Ultra-Libérale sous l’étiquette UMP avec le soutien de GINESTA qui en avait fait son suppléant aux précédentes législatives. Grâce à un contexte national fortement ancré à droite (Sarkozy), Luc Jousse remporte une deuxième fois les élections municipales sous l’étiquette UMP.  Les élus d’opposition démissionnent croyant alerter le Préfet : la voie est ouverte pour toutes les affaires.

En 2011, cantonales : Luc Jousse est une nouvelle fois battu du fait d’un fort mouvement de contestation anti Sarkozy. Même scénario malgré un front uni Jousse-Ginesta-Boudoube/UMP contre Serra.

En 2014, municipales : le rejet de la politique de Hollande est également favorable à la réélection du système Jousse Ollivier pour la troisième fois, réintégré de justesse provisoirement dans L’UMP puis définitivement exclu après les élections (suspendu un temps pour ses propos sur les Roms). Ils remportent les élections sans gloire avec seulement 162 voix d’écart après avoir passé un accord entre les deux tours avec l’un des opposants « acheté contre un poste d’adjoint »! Ce vote semble en plus entaché d’irrégularités mais pour des questions de forme les pourvois sont rejetés et le vote validé …

En 2015, cantonales devenues départementales avec recomposition géographique du canton de Roquebrune intégrant le Pays de Fayence et abandonnant Le Muy : Les candidats FN soutenus par Jousse/Ollivier avec comme suppléant l’un des conseillers municipaux de Roquebrune sont battus par le tandem Mimouni/Cavallier


 

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7 Responses

  1. ACCR dit :

    Bonjour,

    Je vous remercie de citer vos sources. Je vois deux tableaux, dans votre article, publiés par ACCR, l’association dont je suis la présidente.
    Ceci étant dit, Luc JOUSSE n’a pas été exclu des républicains, il en est sorti contrit par le choix de François Cavallier pour les Départementales. C’est la raison pour laquelle aucun parti ne voulant plus de lui il a crée sont « RPR » qui en ce moment discret comme une violette. Cordialement.

  2. Beaugrenelle dit :

    Nos communes voisines sont-elles fréquentables ?
    Et la nôtre, l’est-elle ?
    – Ramassage illégal des ordures ménagères ! Si le Maire respectait le CCCT, les collectes devraient être effectuées au « porte à porte » et non pas en « apport en point de collecte » comme c’est le cas dans toutes les communes voisines touristiques que vous critiquez.
    – Des tas de lotissements dans des ZAC !!!!!! interdit par le code de l’urbanisme. (Article 442-1).
    – Non-conformité de la signalisation routière partout ! ralentisseurs non conformes au décret Pasqua, trottoir non conformes, panneaux absents ou implantés n’importe comment.
    – Non-conformité des éclairages publiques
    – Constructions en mitage illégales dans un commune soumise à la loi littoral.
    – Débroussaillement non conforme aux exigences réglementaires et aucune contrainte faite par le Maire sur les propriétaires qui ne s’exécutent pas.
    – 3500€ d’ indemnités pour le Maire d’une ville de 14000 habitants, c’est 1000€ de plus que la normale.
    Etc., etc., etc.….
    Ce que je viens de citer n’est pas exhaustif loin s’en faut. Le problème est que ces graves manquements ou anomalies ne sont pas apparents dans les autres communes dont vous doutez de la « fréquentabilité ».
    Il faut éviter de voir la paille qui est dans l’œil de son voisin quand on n’est pas en mesure de voir la poutre qui est dans le sien.
    Beaugrenelle

  3. Verlinde dit :

    Bonjour,

    Cayron aurait quitter l’ agglo ?…vous dites…mais est ce que la commune quitte pour autant l’ agglo ?
    Pour quitter ce type d’ EPCI , il faut l’ accord des autres représentants des communes adhérentes, par une délibération majoritaire simple.
    C’est la loi, et ce n’est pas le cas pour Roquebrune qui reste dans l’ agglo. A ce titre, pourquoi la collecte des ordures ménagères n’est pas du même type que dans l’ agglo puisque c’est censé être elle qui gère la chose ?…Pourquoi n’avons nous pas à Roquebrune un ramassage « porte à porte » comme la loi l’ exige
    et comme c’est le cas sur les autres communes de l’ EPCI ?
    Le paradoxe de notre Maire actuel est qu’il est sur beaucoup de sujets dans l’ illégalité totale alors qu’il s’était engagé dans une voie toute autre que celle des précédents locataires de cette mairie.
    Peut être avez vous une réponse qui m’ éclairerait !….
    Cordialement

    • Roquesereine dit :

      Tout à fait d’accord sur le fait que Roquebrune ne quitte pas l’agglo mais lorsqu’un maire quitte, de cette façon, en claquant la porte, l’inter-communalité, il ne faut pas s’attendre à ce que le poids de notre commune (modeste) pèse dans les décisions futures de l’EC2A. Quand au ramassage au porte à porte, c’est un vaste débat. Beaucoup de communes ont réduit la facture du ramassage des OM en plaçant des containers collectifs. Tout est question de dialogue et d’honnêteté quand à la baisse des taxes proportionnelle au poids enlevé.

  4. VERLINDE dit :

    Je reviens sur votre réponse concernant les ordures ménagères. C’est très étonnant de constater que beaucoup de personnes dans cette région substitut le respect des lois et règlements en vigueur au couts engendrés. Diriez-vous devant un juge que vous refusez de respecter les règles de droit parce que cela vous coute cher ?……personnellement je respecte la hiérarchie des choses qui est celle de mettre en avant le respect des lois avant de parler argent ,et j’estime que c’est la seule façon de faire dans un pays de droit ; sinon c’est l’anarchie.
    Et à Roquebrune, c’est l’anarchie !
    Cordialement
    VERLINDE

  5. Nuyens dit :

    Bonjour,

    L’idée d’organiser des Assises sociales européennes en Dracénie a été proposée, le moment est peut-être venu de tous s’atteler, en bonne conscience, avec beaucoup de bonne volonté, sur les grandes questions territoriales qui ont pu se poser depuis des décennies, et qui se posent encore. La cohésion sociale demande une certaine réflexion de la part des municipalités, des conseils départementaux, généraux, des préfectures et sous-préfectures, sans oublier les nombreuses associations.

    Les questions de bonne gestion et de bonne communication avec les administrés sont importantes, encore faut-il savoir mener les véritables débats à l’échelon local, mais également à l’échelon européen. Dans les mairies, ce sont bien les personnels engagés qui pourraient également participer à cette réflexion européenne et locale. Y compris en matière d’urbanisme et d’aménagement des territoires. Sans omettre les questions sociales.

    On peut imaginer la Commission européenne ou le Comité des Régions s’intéresser également à tous ces questionnements sociaux et économiques. L’apport des subventions européennes peut servir les territoires, encore faut-il là aussi savoir bien s’en servir.
    Cordialement,
    BNuyens

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