« Eco-école » et « Ecole-usine » compatibles ?

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« 90% des parents d’élèves sont POUR l’extension de l’école » affirme Cayron (voir article), Mais : 

1. Ce taux est proche des résultats « plébiscites » que l’on retrouvent dans les régimes totalitaires.
2. Comment savoir puisque aucun vote (que nous demandons sous la forme d’un référendum local) n’a eu lieu
3. La pétition lancée contre l’extension dépasse les 500 signatures.

Mars 2023

 » Les projections à venir n’envisagent pas d’augmentation significative des effectifs « . Pourtant le document municipal (PLU) annonce, pour les prochaines années, l’arrivée de plus de 2000 habitants et plus de 1500 logements dont beaucoup de social (et donc de familles).

Deuxième mensonge = » Le projet a été mené en concertation avec les directeurs d’écoles et les enseignants. Tous, sauf deux, sont favorables au projet « 

les d’enseignants n’ont pas été consultés et nombreux sont opposés mais ils ont un devoir de réserves. Il n’ y a pas eu de vote (à bulletin secret) de la part des enseignants donc on ne peut parler à leur place.


Ce projet de concentration extrême d’enfants est une pure folie. Plus de 800 enfants dans un si petit périmètre pour une des plus grandes communes de France (en surface). Des terrains pour une nouvelle école, il y en a mais la commune refuse de les acquérir.

Vous, parents qui avaient des enfants ou un projet d’enfants, il faudra vous mobiliser prochainement car les conditions d’éducation vont vraiment devenir déplorables, les enseignants aguerris vont fuir cette usine et c’est déjà le cas, plusieurs départs sont déjà programmés, replacés par des jeunes sans expérience et avec des cas sociaux probables à venir, ça va devenir ingérable.

Arrêtons ça tout de suite et préparez-vous à manifester votre opposition


800 à 1000  enfants dans une école (y compris crèche), ça donne quoi ?

C’est le projet de notre municipalité.
Mais cette « densification » est une grave erreur.

La densification c’est de nombreux problèmes de stationnement, de circulation, de pollution, de nuisances sonores ou de problèmes sociaux (préemption de terrains par le Préfet pour des logements sociaux), donc de violence, de harcèlement scolaire, voire de deal, avec des enseignants qui fuient vers des écoles plus humaines comme à Bagnols, Puget… Et peu à peu le secteur public s’affaiblira avec une fuite des enfants les plus aisés vers le privé, à Stanislas par exemple, pour lequel un transport est réservé depuis la Bouverie et le Village.

Pourtant les parents d’élèves dénoncent une future école inhumaine qui se prépare à la Bouverie et avec l’arrivée des logements sociaux, c’est pas seulement le quantitatif qui va en prendre un coup mais le qualitatif, c’est à dire des conditions d’apprentissage qui vont drastiquement baisser. Bientôt la Bouverie, ce sera la zone et ne comptez pas sur les oppositions qui passent complètement à côté de cette bombe scolaire (voir leurs expressions libres déconnectées).

Merci aux valeureux parents d’élèves d’être unanimement contre ce projet et de lutter, avec beaucoup d’enseignants pour ne pas que cela se fasse ainsi.
Alors, nous proposons la construction d’une école indépendante aux Fourques ou sur la zone Raphèle voire sur le parking de la salle Suzanne Regis avec toutes les commodités sportives à proximité pour des enfants épanouis.

CONSEIL MUNICIPAL DES ENFANTS, VTT, ….

Une piste de VTT et un conseil municipal des enfants à la Une du lénifiant Roc info pour faire croire que les enfants sont la priorité.

Pourtant tous les spécialiste des écoles s’accordent à dire qu’ au delà de 400 enfants, l’école n’est plus propice au développement éducatif.

« Des vieux qui prennent des décisions sur la base d’un ancien monde révolu et dont les conséquences ne les concerneront pas ».

Voilà pour résumer l’état dans lequel se trouve le petit monde municipal (hautement visionnaire) roquebrunois et plus largement du territoire CAVEM.


Plus c’est gros, plus ça passe plus.

Alors que nous sommes inondés de photos, d’articles, d’initiatives municipales en faveur de l’enfance, la mairie projete de construire l’une des plus grosses écoles du département, inhumaine, impersonnelle et contre l’avis des parents d’élèves, enseignants et autre specialiste de l’enfance.

Même chose pour les arbres, alors que la municipalité s’apprête à abattre une centaine, voire plus, de Chênes, parfois centenaires dans le cœur urbain de la Bouverie, près de l’école (bel exemple pour les enfants au passage), Roc info diffuse l’information que des arbres (franchement riquiqui si on en juge sur la photo) sont généreusement plantés dans d’autres centres urbains.

La politique de la diversion (de l’enfumage) pour leurrer les citoyens, levier (mesquin) de la « démocratie participative » roquebrunoise ne passe plus mais quand le comprendront ils ?


Pourquoi la mairie vent aller vite (trop) et imposer son choix d’extension de l’école de la Bouverie ?

Parce que sans ces classes, ils ne pourront pas construire les logements sociaux qu’ils ont programmés.

Donc, vite, faisons au plus pressé et peu importe si « l’école usine » impactera l’éducation des enfants pendant des dizaines d’années.

Retrouvons nous, jeudi à 16hoo devant le portail de l’ecole pour manifester notre opposition face à une telle entreprise mal pensée, et exiger un référendum sur une question simple: « pour ou contre le projet d’extension de l’école de la Bouverie ».


Ce PLU (plan Local d’Urbanisme) qui fait la part belle aux constructions immobilières mais qui ne réserve pas de parcelle pour une nouvelle école peut-il être valable ?

Car ce PLU, on sait qui l’a fait et c’est pas celui qu’on croit.

Nous avions assisté à la présentation étonnamment claire du futur PLU par Cayron avant les élections. C’est vrai que la brillance n’est pas sa qualité première, mais on sait qu’il avait un sous marin qui lui fournissait tous les renseignements nécessaires.

Quand nous avons appeler pour demander des précisions, on nous a a tout de suite repondu: « vous savez, je ne fais pas de politique ». Nous n’avions rien demandé sur ce sujet, alors pourquoi cette affirmation déplacée? Ce que la psychanalyse appelle l’antiphrase : dire l’inverse de ce que l’on pense.

Bref, le Préfet serait-il en train de revoir le zonage délirant de ce PLU ?


La manifestation citoyenne contre le projet d’extension de l’école.

L’horaire (16hoo), la date (journée de grève nationale), la tentative de récupération politique de Lucchini (nous avons rebroussé chemin), et l’indifférence de citoyens accaparés par d’autres soucis (inflation, retraites, etc. ) ou qui n’ont pas pris la mesure de ce que leurs enfants vont endurer, ont fait qu’il y avait peu de monde cet après-midi lors de la manifestation organisée par le Collectifécolebienveillante Roquebrune

Evidemment l’équipe majoritaire en place se fait déjà les gorges chaudes de ce flop.

Mais, les membres de ce collectif ne lâcheront rien car elles ont le soutien de l’éducation nationale qui est contre ce projet municipal d’ école usine


Enseigner dans une classe de 30 élèves dans une école de 20 classes avec des bruits de chantier pendant 3 ans (durée probable des travaux),

Ou enseigner dans une classe de 20 élèves dans une école de 8 classes au calme avec un jardin partagé à quelques kilomètres de Roquebrune ?

Certains enseignants aguerris roquebrunois ont déjà fait leur choix et partiront là où le bien être des enfants est vraiment la priorité municipale.

Plus de terrains municipaux (dilapidés par Jousse et Ollivier deuxprécédents maires condamnés par la justice dans le cadre de leur fonction et à l’origine des problèmes scolaires que nous connaissons,) mais des terrains à acquérir une nouvelle école, il y en a.

Voici la page 24 du rapport de présentation du PLU qui indique que Roquebrune dispose de plus de potentiel constructible que Fréjus/Saint Raphaël et d’un attrait plus important et où il est prévu une augmentation de la population de 1,2%


JUIN 2023

  ́ !
Pour le dernier jour de classe, les élèves de CM1B, de Mr Fournier, de l’école Jean Janin au Village, ont eu le plaisir de recevoir le label « ́ » pour la plage de la Gaillarde, aux Issambres.
Ces aires marines permettent aux élèves et à leur enseignant de gérer de manière participative une zone maritime littorale de petite taille. Cette démarche pédagogique et écocitoyenne a pour but de sensibiliser le jeune public à .

Après La Motte, c’est Saint Raphaël qui a décidé de désartificialiser ses cours d’écoles.

Le sol c’est notre richesse biologique (biodiversité), c’est une éponge pour retenir l’eau des fortes pluies et pour absorber les pics de chaleur. Le désastre des inondations de 2010 est du en partie en ce phénomène de ruissellement avec un effet destructeur des flux d’eau trop rapides.

Sur Roquebrune les toboggans de béton sont nombreux et le potentiel de désimpermeabilisation considérable. Certes, cela sera moins confortable en terme de propreté mais afin d’éviter la boue, il suffit de daller les chemins et de s’équiper de bottes. Comme avant



NOS PROPOSITIONS. Etendre l’initiative « éco-école »

  • Faire en sorte que les autres écoles du Village et des Issambres puissent s’engager et obtenir ce label http://www.eco-ecole.org/etablissements-scolaires/labellisation.html
  • Organiser des ma75576572_10220543207632933_6375768149345697792_nnifestations de sensibilisation mêlant adultes et enfants : plantation d’arbres, week-end consacré à la terre, à la solidarité…
  • Associer des  organismes reconnus et agrées comme Colibri aux démarches des écoles

Que peut-on faire pour nos enfants ? Que peuvent faire nos enfants pour nous ?imgres 

Voici ce qu’a mis en place l’école de la Bouverie.

Un air irrespirable, une mer de déchets plastiques, des champs agricoles laissés à l’abandon, des apiculteurs ruinés faute d’abeilles…

Mais ce n’est pas seulement que les apiculteurs seront ruinés, ce sont surtout que les abeilles, et beaucoup d’autres insectes, sont des pollinisateurs de nos plantes à fleurs qui représentent … 90% des espèces végétales ! Le taux de mortalité des abeilles dépasse 30%, celui des insectes pollinisateurs (dont les papillons) frôle les 80% dans certaines régions (Allemagne). L’enjeu dépasse largement la taille du portemonnaie des apiculteurs, il y va de notre production agricole et donc de notre survie.

Nous, générations issues pour la plupart d’une société d’hyperconsommation, avons acquis de mauvais comportements vis à vis de la planète. Comment les changer ?

Si la prise de conscience est, pour certains citoyens, effective, nos « réflexes » de consommateurs sont parfois durs à changer : local, bio, emballage, déplacement, énergie… Le développement durable n’est pas une mode. C’est une prise de conscience, une nécessaire transformation radicale et en profondeur de nos modes de vie. Les enfants sont les héritiers et donc les premiers concernés et sont certainement les plus vigilants quant aux actions de préservation de la planète.

D’autre part, à travers les enfants, on peut éduquer un petit peu les adultes. Mais ça ne nous empêchera pas d’aller dans le mur si rien ne change rapidement et en profondeur! 

L’éducation nationale conseille de s’engager dans le programme Éco-École et permet à chaque établissement qui le souhaite, sur la base du volontariat, de développer chaque année une thématique relative à l’éducation au développement durable.le-drapeau-eco-ecole-flotte-sur-le-college_273424_510x255

A l’école de la Bouverie, ce label est obtenu tous les ans depuis 2012, grâce à la mobilisation des différents professeurs et de leurs élèves, des parents d’élèves et d’autres acteurs des milieux associatifs et institutionnels qui participent au projet. (Même la mairie, si, si ! )

éco école 1Thèmes et actions des années précédentes à l’école de la Bouverie :

Les déchets (et donc le recyclage) 2010-2011

L’alimentation 2011-2012

L’eau : préserver les ressources 2012-2013

Les énergies : mise en place du vélo bus notamment 2013-2014

La biodiversité 2014-2015

Les solidarités : action avec les amis de Paola (voir article plus bas) 2015-2016

Le climat 2016-2017

Cette année 2017-2018, le thème retenu est la santé.thumbnail_FB_IMG_1714895461746


PROPOSITIONS

  • Faire en sorte que les autres écoles du Village et des Issambres puissent s’engager et obtenir ce label http://www.eco-ecole.org/etablissements-scolaires/labellisation.html
  • Organiser des manifestations de sensibilisation mêlant adultes et enfants : plantation d’arbres, week-end consacré à la terre, à la solidarité…
  • Associer des  organismes reconnus et agrées comme Colibri aux démarches des écoles

2018 : MANIFESTATION PARENTS D’ELEVES.

 » C’est bien beau de soutenir les gilets jaunes mais quand il a décidé d’augmenter les tarifs du périscolaire, du centre de loisir et de la cantine … là, cela n’a pas dérangé le directeur des services.

Il était habitué aux lettres de menace pour vouloir intimider les gens.13495377_10208528398240310_1167245435321384472_o
Il a publié un tissu de mensonges dans la tribune (voir plus bas) par le soi disant futur candidat qui soutient les gilets jaune avec sa responsabilité d’une hausse vertigineuse des tarifs et la qualité médiocre des prestations :  46 % : les mercredis, 36% : le centre de loisirs 10% la cantine. C’est bien les augmentations qu’il a pratiqué.
Et le soi disant candidat pense t-il que les roquebrunois sont assez dupes ?Compte il se racheter une conduite en étant parent d’élève au primaire et au collège depuis la rentrée ? »


AMIS DE PAOLA / ECO-ECOLE – DES ENFANTS DE ONZE ANS MOBILISÉS CONTRE LA MISÈRE
 1 avril 2016. « Bah alors »

Elle s’appelle Saloie Benatich, elle a 23 ans, et dans moins de six mois, elle sera une éducatrice spécialisée diplômée, après trois ans d’études. En ce moment, elle donne un sérieux coup de main aux Amis de Paola, une association bien connue basée à Fréjus, qui donne toutes ses tripes pour venir en aide aux gens les plus démunis du territoire, ceux qui ont tout perdu, ou presque. Dans le cadre de sa mission, elle a eu une idée de génie : allier l’énergie des élèves d’une classe de Cm2, et la formidable détermination d’une association en pleine période d’intense travail sur le terrain. Besoin de produits d’hygiène ? De nourriture ? De vêtements chauds pour passer un hiver jamais tendre ? Il fallait bien une synergie philanthrope et motivée pour combler quelques premières nécessités. Professionnels, bénévoles, associatifs, c’est à plusieurs qu’on combat le mieux la misère.4761e8a4-3e0b-4833-be4a-dd6b55ce4b8e

Saloie vous êtes actuellement en plein dans les études, mais vous participez aussi activement à la mission des Amis de Paola. Quel est votre rôle au sein de l’association ?

Je travaille en ce moment avec des personnes qui sont sans domicile fixe, avec Les Amis de Paola. Cette association fonctionne beaucoup avec les dons, alimentaires, de produits d’hygiène.

Comment vous est venue l’idée de collaborer avec une classe de Cm2 ?

Ma petite nièce est une élève de la classe de Gilles Priarone à l’école de la Bouverie, qui participe au projet éco-école. Comme elle m’a expliqué que dans ce cadre, les enfants étaient sensibilisés aux sujets de la solidarité, de l’entraide, j’ai fait le lien entre les deux. J’ai trouvé ça intéressant que des enfants aussi jeunes soient sensibilisés à ces questions-là, et les rencontrer m’a beaucoup apporté. D’autant plus que la récolte de dons a été bonne.

Comment ça se passe, pour vous, confrontée au quotidien avec ce public si particulier ?

Et bien mon rôle aux Amis de Paola, c’est de les aider à se réinsérer, à retrouver un logement, du travail, les accompagner dans un moment de grande difficulté. Il faut aussi répondre à leurs besoins primaires, manger, boire, se vêtir, se laver, mais à terme, l’idée c’est de les aider à se réinsérer.

Vous les avez trouvés comment, les enfants ? Conscients de l’existence de ce monde-là ?

J’ai été très surprise. L’instituteur m’a proposé de venir faire une intervention. J’ai préparé un petit diaporama, qui montrait dans les grandes lignes tout ce qu’on fait avec l’association, les maraudes le soir, la composition du centre d’accueil, l’équipe, la manière dont on travaille…et j’ai été très étonnée parce que j’ai vu des élèves très calmes, qui m’ont posé beaucoup de questions, ça a duré plus longtemps que prévu, je ne m’attendais pas du tout à avoir un retour comme ça. Et c’étaient vraiment des questions pertinentes ! Ils avaient pour beaucoup cette image mauvaise du sdf qui ne veut pas travailler, qui ne se lave pas, et je pense qu’ils vont garder une image plus fidèle à la réalité, ils ont pris conscience de ce que c’était vraiment de vivre dans cette difficulté-là.

Qu’est-ce que vous avez récolté, comme produits ?

En ce moment c’est l’accueil d’hiver, on a plus d’une centaine de personnes qui viennent chaque jour au centre, on a beaucoup de travail. Et on manquait de produits d’hygiène. D’ailleurs c’est un sujet sur lequel on travaille avec eux, on leur parle de propreté, on leur rappelle que c’est important, que même s’ils sont dans la rue, il faut garder une image digne et positive. Les personnes que l’on accueille ont eu un parcours très difficile, prendre soin d’eux n’est plus une priorité, leur image est très détériorée. Et pourtant, il faut reconstruire ces personnes, et on commence par l’hygiène et l’alimentation, avant de se pencher sur les problématiques des addictions quand il y en a. Tout commence par là. Cette récolte répondait vraiment aux besoins du moment.

Les enfants ont fait ça avec les supermarchés locaux ?

Ils ont commencé la récolte à l’école, avec ce que leurs familles pouvaient donner, nourriture, vêtements et produits. Puis ils sont partis à la rencontre de différentes enseignes du coin qui se sont proposées d’effectuer des dons. Et c’était super parce que ces enseignes, ce ne sont pas les mêmes que celles qui travaillent avec les Amis de Paola d’habitude. Cette opération nous a permis de tisser de nouveaux liens.

Et vous, qui travaillez depuis un an maintenant avec les Amis de Paola, vous la vivez comment, cette confrontation quotidienne avec des personnes dans une grande détresse ?

C’était la première fois. Je n’ai pas été choquée, mais j’avoue qu’en tant que jeune femme, j’appréhendais cette mission. Comment rentrer en contact, comment discuter, je me posais beaucoup de questions. Mais j’ai très vite été entourée par des professionnels qui ont beaucoup d’expérience. Et j’ai vécu avec eux beaucoup de petits moments du quotidien, le petit déjeuner, les repas, les cafés, j’ai commencé à échanger. J’ai réussi à créer le contact, mais il a fallu beaucoup observer.

 

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